Thibault RIEGERT

Un thermos est un contenant thermique pour les aliments doté d’une fermeture hermétique qui sert à conserver la nourriture, qu’elle soit chaude ou froide, pendant plusieurs heures.

Peut-être que vous n’en avez pas, ou que celle que vous possédez reste inutilisée, perdue quelque part au fin fond d’un placard de votre cuisine.

Mais si vous réfléchissez bien, les occasions d’utiliser une thermos alimentaire sont nombreuses !

En voyage, en vacances, au bureau, à l’école, à l’université, et même dans la vie de tous les jours, cet accessoire est tellement pratique et utile que vous vous rendrez très vite compte, lorsque vous achèterez une thermos, que vous ne pourrez plus vous en passer !

Dans notre article, nous vous expliquerons comment s’utilise un thermos alimentaire et nous sommes certains que vous resterez bouche bée devant la quantité impressionnante D’AVANTAGES que peut vous offrir un si petit objet.

Comment utiliser un thermos alimentaire

Que mettre dans ma thermos alimentaire ?

Dans votre thermos, vous pourrez conserver autant de la nourriture que des boissons, lors de toute saison et à n’importe quelle occasion. Qu’elles soient chaudes ou froides.

Voici quelques exemples pour vous faire une idée plus précise des cas où vous pourriez avoir besoin d’une thermos alimentaire.

Vous mangez dehors tous les jours et VOUS NE VOULEZ PAS aller au restaurant ou manger à la cantine de votre entreprise ? Peut-être que vous faites un régime et que vous préférez manger le bon petit plat que vous vous êtes préparé ?

Vous voulez passer votre temps de pause dans un parc ?

Ou pourquoi pas… dans l’enceinte de votre entreprise pour pouvoir terminer du travail en retard ? Dans ce cas, une lunch box électrique est idéale.

Si vous faites un pique-nique ou que vous êtes en vacances en camping, vous pourriez tout simplement vouloir avoir une thermos qui soit en mesure de conserver vos aliments au chaud.

Vous pourriez également en vouloir une avec une grande contenance pour emporter le repas de toute la famille, ou bien une qui possède plusieurs compartiments pour pouvoir séparer les différents plats que vous avez préparé, afin de ne pas mélanger les saveurs.

Vous êtes à la plage et vous voulez maintenir votre boisson fraîche préférée à la bonne température tout du long, tout en l’ayant à disposition ? Dans ce cas, une thermos est l’outil idéal pour vous.

Si vous êtes souvent en déplacement pour votre travail, vous pourriez opter pour une lunch box thermique ou pour un récipient chauffe-plat à brancher sur l’allume-cigare de votre voiture… cela revient à enfin dire adieu à la longue file d’attente du fast-food à emporter !

La thermos ou le chauffe-plat vous seront d’une aide précieuse, car ils conserveront vos aliments solides ou liquides au chaud ou au froid, grâce au principe d’isolation thermique, un système à double paroi (avec un espace vide entre les deux), qui permet de maintenir son contenu à une température constante pendant plusieurs heures.

C’est justement grâce à cet espace vide entre les deux parois que l’isolation thermique se crée : ainsi, la température interne à la thermos reste constante et ne se ressent pas sur la paroi externe.

Combien de temps se conservent les aliments et les boissons dans une thermos ?

En règle générale, dans le manuel d’instructions qui accompagne votre nouvel achat, vous pourrez trouver (en outre de plein d’autres indications) celle qui vous exposera le nombre d’heures durant lesquelles votre nourriture ou votre boisson pourront être conservées dans votre thermos.

Mais tout d’abord, il faut partir du principe qu’un des éléments essentiels à la salubrité des éléments conservés dans votre thermos est dispensé par le MATÉRIAU dans lequel elle est conçue. Pas de plastique, seulement de l’acier.

En effet, les contenants isothermes les plus sains et les plus salubres pour la conservation de vos aliments sont ceux qui sont fabriqués en acier inoxydable, car l’acier est spécifiquement conçu pour conserver vos aliments, puisqu’il EMPÊCHE LA FORMATION DE BACTÉRIES et n’altère pas le goût des aliments.

Et en parlant d’hygiène… choisissez un modèle de thermos alimentaire qui soit facile à nettoyer et avec une grande ouverture, pour que vous puissiez laver votre thermos de manière beaucoup plus efficace. Cela vous garantira une hygiène accrue et une tranquillité d’esprit supérieure.

En règle générale, les thermos peuvent non seulement être lavées à la main, mais elles peuvent également être passées au lave-vaisselle. Pour bien nettoyer vos thermos, vous pouvez passer une brosse douce à l’intérieur pour vous assurer d’avoir bien retiré tous les résidus de nourriture qui pourraient rester incrustés à l’intérieur de votre thermos.

Cette règle générale s’applique d’autant plus si vous utilisez une thermos pour la nourriture de votre bébé.

Si votre thermos est facile à laver, vous éviterez que les bactéries et les micro-organismes se forment dans vos aliments.

Pour être sûr que la nourriture contenue dans votre thermos se conserve à la perfection, cuisinez votre repas et glissez-le dans votre thermos, lorsqu’il est encore fumant.

Si, au contraire, vous avez un plat qui doit se conserver au frais, mettez-le dans votre thermos lorsque vous l’aurez à peine retiré du réfrigérateur, c’est-à-dire, quand votre nourriture est encore très froide.

Ces prévoyances éviteront la prolifération de bactéries nocives qui pourraient GÂTER votre nourriture et ainsi la rendre immangeable, voire dangereuse pour votre santé si vous la mangez.

Il n’y a rien de pire que de voir l’heure du repas arriver, mais de ne pas pouvoir manger votre nourriture car elle est passée !

Voilà deux petits conseils pratiques sur la conservation de vos aliments dans votre thermos :

• Une fois que votre thermos est ouverte, tous les restes de nourriture que vous n’aurez pas mangé au cours de votre repas, ne doivent pas être laissés dans votre thermos, mais doivent être jetés.
• Dans le cas où vous ouvrez votre thermos et que vous vous rendez compte que votre nourriture n’a pas été conservée au froid ou au chaud comme elle était supposée l’être, ne mangez pas votre repas. Cela signifie que votre thermos n’a pas rempli sa fonction première et que votre nourriture pourrait ne plus être bonne à la consommation en raison des bactéries nocives qui pourraient s’être formées. Mieux vaut prévenir que guérir et jeter votre nourriture, non ?

Voilà une autre astuce utile : la plus grosse erreur que vous pourriez faire serait de mettre votre plat chaud directement dans une thermos à température ambiante.

Au moment du repas, vous retrouverez très certainement votre nourriture beaucoup moins chaude que prévu, car son passage dans une thermos tiède aura fait se disperser une grande partie de la chaleur de votre repas.

Comment utiliser ma thermos correctement ?

Nous vous avons donc concocté un bref guide sous forme d’étapes, pour vous assurer de conserver votre nourriture dans votre thermos à une chaleur optimale.

Il vous suffira de quelques étapes rapides pour vous assurer que votre repas chaud le reste jusqu’au moment de le manger !

• Tout d’abord, commencez par faire bouillir de l’eau dans une quantité suffisante pour remplir votre thermos jusqu’à sa capacité maximum ;
• Puis, remettez le couvercle sur votre thermos et laissez-la reposer quelques minutes ;
• En attendant, préparez votre repas ou finissez-en la cuisson jusqu’à ce que votre repas soit bouillant ;
• Lorsque votre repas aura atteint la température que vous souhaitez, videz la thermos que vous aurez préalablement remplie d’eau bouillante ;
• Remplissez-la rapidement avec votre repas à peine préparé et encore fumant. Cette étape doit être réalisée le plus rapidement possible pour ne faire refroidir ni votre thermos, ni votre repas ;
• Refermez bien le couvercle de votre thermos et votre repas sera conservé au chaud jusqu’au moment de le manger.

Ces étapes deviendront rapidement familières pour vous et vous les adopterez en peu de temps dans votre vie quotidienne lorsque vous commencerez à utiliser votre thermos.

Elles servent à accroître le plus possible l’utilité de votre thermos et à profiter au maximum de sa capacité de conservation au chaud.

La même chose peut être réalisée avec de l’eau froide, si les aliments que vous devez conserver sont froids.

De cette manière, la température de vos plats pourra être conservée jusqu’à un maximum de 12 heures !

Si cet article vous a plu, n’hésitez pas à continuer de nous lire !

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Si l’on pense à des vacances en camping avec ses amis ou sa famille, il nous vient instantanément en tête une idée de liberté et de divertissement. Et le moment des repas ne fait absolument pas exception à cette règle !

La cuisine en camping peut représenter un des moments les plus drôles et divertissants de toutes vos vacances, à condition, toutefois, d’avoir une bonne organisation et surtout, tout l’équipement nécessaire à son bon déroulement.

Afin que le moment des repas ne se transforme pas en un véritable cauchemar et qu’il gâche irrémédiablement vos vacances, vous devez avoir les IDÉES BIEN CLAIRES.

Dans cet article, qui vous est proposé par notre rédaction, vous trouverez de nombreux conseils et astuces très pratiques, et vous apprendrez comment cuisiner en camping pour profiter pleinement de la belle vie en vacances.

Comment cuisiner facilement en camping

Voulez-vous vous essayer à la cuisine dans un camping-car ou en camping en tente ?

Si vous êtes un campeur qui fait ses premières armes, alors, préparer plusieurs plats en avance, avant même de partir représente très certainement la solution la plus adaptée pour vous. Mais, que vous soyez un campeur débutant ou invétéré, vous devrez réfléchir dans tous les cas :

• A ce que vous voudrez cuisiner et à la nourriture que vous voudrez emporter.
• A comment organiser vos repas froids, vos sandwiches, vos collations ou vos repas sur le pouce.
• A comment équiper la cuisine de votre lieu de camping ou de votre camping-car.
• Au type d’assiettes, de vaisselle et de couverts qu’il vous sera indispensable d’avoir durant votre camping.
• A la méthode de cuisson que vous utiliserez : feu de camp, réchaud ou bonbonne de gaz.
• Aux conseils et astuces dont vous avez besoin pour vous déplacer en toute sécurité dans votre cuisine de camping.
• A tous les instruments et produits qui vous seront nécessaires pour nettoyer votre cuisine après avoir cuisiné et mangé : liquide pour laver la vaisselle, désinfectants, éponges, lingettes, etc.

Pour vous faire une idée, voici une vidéo présentant trois solutions pour cuisiner en camping lors de trois situations différentes.

1. La préparation de la cuisine de camping

• Êtes-vous réellement certain de vouloir cuisiner ?

Si un voyage en camping vous semble déjà suffisamment difficile en soit (entre la peur d’oublier quelque chose, la nécessité de se protéger des moustiques et la préparation de l’abri où vous passerez la nuit), vous pourriez également ressentir l’envie de ne pas vouloir vous lancer DANS LA PRÉPARATION D’UN REPAS COMME À LA MAISON !

Toutefois, il n’est pas toujours facile de trouver un restaurant, et, disons-le franchement, il s’agit d’une solution peu économique !

Dans ce cas, des aliments qui peuvent se conserver tout aussi bien hors du réfrigérateur pourront vous apporter l’aide nécessaire. En règle générale, il s’agit également d’aliments qui ne nécessitent pas de cuisson particulière ou de préparation élaborée. Nous vous parlons ici des fromages à pâte dure, de la charcuterie ou encore des fruits secs.

Ou bien, vous pourriez également emporter une glacière pour conserver vos fruits secs, vos yaourts ou vos fromages, par exemple.

Commencez donc à réfléchir à la manière d’organiser vos repas en mangeant aussi bien qu’à la maison, mais SANS avoir à cuisiner je ne sais quel plat élaboré !

• Le mot d’ordre : la SIMPLICITÉ

Cuisinez des plats simples et surtout RELAXEZ-VOUS… vous êtes en vacances !

Vous n’aurez pas à votre disposition une vraie cuisine élaborée comme chez vous, et surtout, vous n’aurez pas besoin d’impressionner qui que ce soit avec des plats gastronomiques.

Gardez également à l’esprit les limites qui vous sont naturellement imposées par la cuisine à l’extérieur et réajustez simplement vos attentes !

UN SIMPLE PLAT bien cuisiné sera de toute manière appréciée par tout le monde et ne vous fera pas perdre trop de temps ou d’énergie.

• Jouez l’anticipation et préparez tout ce qui est possible depuis le confort de votre maison avant de partir

Par exemple, vous pouvez couper vos légumes depuis chez vous, de manière à ce qu’ils soient déjà prêts une fois que vous serez parti camper. Ou bien, vous pourriez préparer un plat de pâtes froides, des salades, des tranches de charcuterie ou encore une omelette coupée, que vous pourriez conserver dans un contenant dédié.

Pour cuisiner en camping, il ne vous sera pas nécessaire d’emmener trop de casseroles. Une bonne poêle peut être suffisante pour préparer différents plats.

Cherchez donc de rationaliser votre équipement et d’avoir avec vous le minimum indispensable pour une question de poids et d’espace.

• Prévoyez toujours un espace pour conserver tous vos aliments au frais

Dans votre équipement de camping, vous aurez très certainement une glacière, ou tout du moins, un espace dédié aux produits qui nécessitent d’être conservés au frais.

Vous pourrez profiter au maximum de cet espace EN CONSERVANT AU FRAIS des légumes ou du pain découpé, ou bien des morceaux de viande, qui serviront également à maintenir à température votre glacière, que vous pourrez ensuite laisser décongeler naturellement, afin de pouvoir les consommer.

Ou bien, vous pourriez mettre des bouteilles d’eau congelée dans votre glacière, de façon à ce que vous ayez toujours une bouteille d’eau bien fraîche, en plus de votre glacière.

Dans le cas où vous souhaiteriez toujours avoir sous contrôle la température de votre glacière, nous vous suggérons tout simplement d’y glisser un thermomètre, afin d’éviter les mauvaises surprises telle que des aliments passés.

2. Les éléments essentiels de la cuisine en camping

Qu’est-ce qui peut vous être utile lorsque vous cuisinez en camping ?

Le nécessaire de base de la cuisine en camping se compose de trois éléments simples : le feu, la nourriture et les casseroles. Voyons ensemble en détail comment procéder :

• La cuisine est le cœur de la maison et cette règle ne fait pas exception en camping ! La manière d’organiser un feu de camp est fondamentale et vous avez une myriade d’options qui s’offrent à vous.

Si vous voulez cuisiner sur le feu de camp à ciel ouvert ou sur les braises, soyez conscient que vous n’aurez pas le même contrôle de la flamme que vous pourriez avoir depuis le confort de votre maison ou depuis le barbecue de votre jardin.

Il y a un certain nombre de conditions extérieures qui pourraient influer sur votre feu de camp et vous compliquer la vie en ce sens. Par exemple, il pourrait pleuvoir, ce qui peut rendre difficile l’allumage du feu, ou bien, vous pourriez manquer de bois.

Dans certains parcs, vous pouvez récolter du bois, mais il est crucial de toujours BIEN VOUS INFORMER AVANT DE PARTIR et d’emmener éventuellement votre propre bois (que vous aurez préalablement préparé chez vous), afin de ne pas avoir de mauvaises surprises à la dernière minute.

Si vous vous trouvez dans un endroit trop humide pour allumer votre feu, cela peut transformer l’allumage de votre feu de camp en véritable défi !

Dans ce cas, pourquoi ne pas penser à emmener un petit four à propane de camping ? Dans le commerce, vous en trouverez différents types : des plus grands et plus professionnels aux plus petits modèles, très simples et peu chers, à ceux qui sont compacts et pliables, également très légers à transporter.

Dans tous les cas, nous vous suggérons de vous entraîner à allumer un feu avant de partir sans allume-feu, sans allumettes et sans briquet, car, être capable de le faire sans tous ces outils peut se révéler très utile en cas d’urgence ou si vous les avez tous oubliés !

Comment allumer un feu sans allume-feu dans toute situation :

• Pour tout ce qui concerne la nourriture de camping, le dilemme fondamental est : QUELLE QUANTITÉ EMPORTER ?

Les passionnés de la bonne nourriture ne renoncent que rarement à leurs petits plats gourmets, et ce, même en vacances, et ils ne partent pas sans tout l’équipement nécessaire pour bien cuisiner.

La quantité de nourriture que vous allez emmener lors de votre camping dépend beaucoup de vos goûts et de vos habitudes, mais aussi de l’espace dont vous disposez.

Partir en camping-car ou en voiture facilite beaucoup les choses… et si, au contraire, vous voyagez avec votre sac à dos sur les épaules, logiquement, la quantité de nourriture que vous pourrez emporter sera naturellement inférieure ! Le poids de ne la nourriture dans votre sac à dos finira très certainement par compromettre vos vacances.

Si vous voyagez en sac à dos, vous devrez vous contenter de boîtes de conserve, d’aliments à longue conservation ou de plats lyophilisés qui pourront être facilement cuisinés, même lors d’un voyage.

Si vous avez la possibilité d’avoir un réfrigérateur ou une glacière, et spécialement durant la saison estivale, vous aurez toujours de la nourriture fraîche.

Nous vous conseillons dans tous les cas, d’avoir toujours avec vous de petites collations légères et rapides à avaler, dans le genre mix de fruits secs. Il s’agit d’une excellente manière de se rafraîchir et de se redonner de l’énergie, tout en portant un poids très peu élevé. Et d’autre part, ce genre d’aliments ne prend que très peu de place.

• En ce qui concerne les poêles et les casseroles, là aussi, c’est votre moyen de locomotion qui fera toute la différence : si vous partez en voiture ou en camping-car, vous pourrez forcément vous permettre d’en emmener un certain nombre, voire un véritable set (celles en fonte sont un très bon choix), alors que si vous partez en sac à dos, vous ne pourrez en faire pendre qu’une seule aux lanières de votre sac !

Mais si vous avez un espace réduit, ne vous découragez pas pour autant !

En réalité, le plus gros de tout le poids se résume par trois éléments :

• Une poêle classique pour cuisiner la viande, les œufs, les légumes et ainsi de suite.
• Le grill (type plancha) pour le pain, la viande, les légumes, etc.
• Le four hollandais polyvalent (une casserole avec couvercle) pour les soupes, les ragoûts et plein d’autres plats encore.

Si vous partez sans voiture ou camping-car, mais simplement en sac à dos, alors, vous devrez opter pour QUELQUE CHOSE DE LÉGER, comme une poêle en titane ou en aluminium.

Ainsi, emporterez-vous moins de nourriture avec vous et il sera beaucoup moins compliqué de cuisiner. Donc, une seule et unique poêle vous suffira, sans aucun doute, et pourra tout à fait subvenir à vos besoins pour cuisiner tous vos plats, de manière à vous faire économiser du poids et de la fatigue.

Voici quelques autres instruments de cuisine que vous devriez emporter avec vous :

• Des allumettes pour allumer le feu (attention à toujours les conserver au sec).
• Des feuilles d’aluminium pour cuisiner certains aliments tels que les pommes de terre ou le poisson, que vous n’aurez qu’à emballer dans les feuilles d’aluminium et à jeter sur le feu pour une cuisson avec un effet de fumé.
• Un kit de poêles, casseroles, couverts et pinces qui vous serviront à bien vous occuper de votre nourriture lorsqu’elle cuit et à la retirer du feu lorsqu’elle est prête.

3. Les méthodes de cuisson pour cuisiner en camping

Un camping sans feu de camp n’est pas un camping, n’est-ce pas ?

Cuisiner à feu vif en camping n’est pas le choix le plus commun, ni même le plus simple, ou encore le plus efficace, bien qu’il s’agisse souvent d’un choix du cœur, car cela nous rappelle notre enfance. Est-ce que l’odeur de chamallows grillés ne vous glisse pas entre les narines rien qu’à y penser ? Je suis sûr que si !

Qu’y a-t-il de plus beau qu’un feu de camp autour duquel tout le monde s’assoit et mange en bonne compagnie ? Sans parler des excellents repas que vous pourrez faire ou des moments d’histoires qui font peur que vous pourrez vous raconter une fois la nuit tombée !

Si vous partez camper, il faut que vous sachiez toutefois, qu’il y a différentes méthodes pour cuire sa nourriture, et pour lesquelles vous pourrez également utiliser vos poêles… voyons ensemble ces différentes méthodes.

• La cuisine à l’aluminium : procurez-vous une feuille d’aluminium, pas trop fine et emballez-y complètement l’aliment que vous souhaitez cuire. Pliez les bords et enfermez-y votre aliment, en faisant bien attention à ne pas trop l’écraser, car certains aliments gonflent pendant la cuisson. Il faudra donc que vous pensiez à laisser un peu d’espace pour permettre à la vapeur d’eau qui se formera lors de la cuisson de votre aliment de s’échapper. Pour ce faire, vous pouvez également faire quelques trous dans votre feuille d’aluminium, car cela sera tout autant efficace !

Mettez votre « paquet » d’aluminium directement sur le charbon ardent ou sur le bois et tournez-le de temps en temps, de façon à ce que la chaleur pénètre partout et puisse cuire uniformément votre nourriture.

Grâce à cette méthode, vous pourrez cuire de la viande, des pommes de terre, du poisson, des légumes, des fruits de mer ou encore des hot-dogs avec des résultats tout à fait impressionnants.

Vous pourrez également permettre à vos aliments de prendre un léger goût de fumé, ce qui est très appréciable pour les poissons, par exemple. Vous pourriez en être très surpris.

• La cuisine avec un four hollandais : il s’agit d’une casserole très robuste et très compacte dotée d’un couvercle que vous pourrez entièrement enfouir sous le charbon ardent ou sous les morceaux de bois. Le couvercle doit être fermé. Pour cuisiner quoi que ce soit à l’intérieur d’un tel outil, il vous faudra une bonne quantité d’huile ou de condiments, afin que votre nourriture n’accroche pas. Faites bien attention à ne pas vous brûler les doigts ou les mains lorsque vous l’ouvrez.
• La cuisine avec un réchaud: il s’agit de la solution la plus facile à utiliser, et il s’agit également de la méthode de cuisson la plus utilisée parmi les campeurs. Le réchaud peut fonctionner au propane, au kérosène et au butane. Un grand nombre de modèles très légers peuvent être transportés directement dans votre sac à dos.

Une recommandation peut-être et qui concerne votre sécurité : n’utilisez jamais votre réchaud dans un espace clos tel que votre tente, par exemple, ou bien, proche du feu. Un réchaud doit impérativement être utilisé à l’air libre et loin de toutes les autres sources de chaleur.

• La cuisine avec un réchaud improvisé : vous êtes un campeur aventurier ou un campeur invétéré ? Cette méthode est faite pour vous ! Voici comment faire : procurez-vous une boîte de conserve ou un bidon de lait assez grand et retirez le couvercle. La partie où vous aurez retiré le couvercle servira de fond du réchaud.

Maintenant, découpez un carré sur le côté du bidon qui se raccorde au fond, sans découper entièrement le carré. C’est-à-dire que vous devrez laisser le carré attaché à votre bidon en ne coupant que deux des côtés. Ensuite, repliez ces deux côtés de façon à former une porte de ventilation, qui vous servira à contrôler la chaleur.

Étape suivante : percez deux trous pour l’air sur le côté opposé à votre porte de ventilation.

Positionnez ensuite ce réchaud improvisé sur un petit feu. Le bidon devrait rapidement devenir très chaud et vous servira à cuire votre nourriture à la perfection.

Il est évident que cette méthode de cuisson est réservée aux habitués du camping et aux aventuriers. Si vous ne vous en sentez pas capables, nous vous recommandons d’opter pour un réchaud classique, qui sera tout autant utile et beaucoup plus pratique et facile à utiliser.

• La cuisson au « Buddy Burner »: voici une autre méthode pour préparer votre propre « four » de camping. Vous aurez besoin d’une petite boîte de conserve, de cire de paraffine et de papier ondulé. Insérez le papier ondulé en bandes à l’intérieur de la boîte, de sorte que les bandes de carton soient plus basses que la boîte.

Faites fondre la cire et versez-la sur le carton, en laissant un peu de papier sur le dessus pour servir de mèche. Une fois que la cire aura durci, vous pouvez l’allumer et ainsi, vous aurez toute la source de chaleur dont vous aurez besoin et pendant une longue durée, avec l’avantage que vous pourrez RÉUTILISER la cire que vous venez d’utiliser ; voici comment :

Si vous placez des clous dans le sol autour de ce réchaud improvisé et que vous placez ensuite une poêle à frire sur le dessus, vous pouvez faire cuire vos aliments avec un réchaud toujours prêt en cas d’urgence.

Lorsque vous avez terminé la cuisson, mettez un couvercle sur la cuisinière pour éteindre la flamme et faites attention, car la température qu’un tel réchaud peut atteindre est très élevée.

• La cuisson au feu de bois en camping est un très grand classique ! Le type de flamme est totalement différent en fonction des plats que vous déciderez de cuisiner. Par exemple, préparer un ragoût requiert une petite flamme, tandis que si vous souhaitez porter votre eau à ébullition, il vous faudra une flamme plus grande. Pour cuisiner au grill, il vous suffira de poser ce que vous souhaitez cuisiner sur le charbon chaud.

Faire un feu requiert beaucoup de prudence et un certain nombre d’astuces :

• Positionnez une série de pierres en cercle tout autour du feu.
• Assurez-vous qu’il n’y ait pas de branches ou de détritus trop proches du feu, car ceux-ci pourraient s’enflammer.
• Gardez de l’eau proche de vous, en cas de besoin.
• Si vous avez une réserve de bois, tenez-la loin du feu.
• Utilisez du bois très sec, ni humide, ni frais ou encore vert, au risque de voir beaucoup de fumée se former.
• Pour créer une flamme durable, procédez comme suit : tout d’abord, mettez en place des petites branches, des feuilles et de l’herbe sèche ou des pommes de pin, car tout cela s’enflamme rapidement. Mettez le feu à ce petit tas en l’allumant au moyen d’une allumette et en le maintenant à l’abri du vent. Soufflez délicatement sur la base du bûcher et quand vous voyez que votre petit tas a pris feu de façon durable, ajoutez vos branches plus grandes, afin de former un véritable feu de camp. À partir de là, mettez de plus en plus de grandes branches, telles que des bûches. Quand votre feu sera complètement allumé, vous pourrez continuer de l’alimenter en ajoutant des troncs de plus en plus gros, tout en vous assurant que votre feu dispose de suffisamment d’air pour l’alimenter.
• La cuisson au charbon : simple et efficace. Le charbon est une excellente source de chaleur ; il suffit de penser qu’un seul morceau de charbon peut atteindre une température de 40° C. Posez une grille dessus afin de créer une sorte de « barbecue » improvisé vous permettra une délicieuse cuisson de votre viande, de votre poisson et de vos légumes.

Et si vous souhaitez que votre charbon atteigne la température idéale pour cuisiner le plus rapidement possible, mettez-le à l’intérieur d’une boîte de conserve dont les deux couvercles ont été retirés en mettant du papier sous le charbon pour l’allumer.

Une fois que votre charbon est prêt (vous pouvez vous en rendre compte lorsqu’il prend une couleur rouge foncé), retirez toute la structure et étendez votre charbon sur une zone plus grande.

Désormais, votre charbon est prêt à être utilisé comme bon vous semble !

4. D’autres petits conseils pratiques pour cuisiner en camping

Voici une liste d’un grand nombre de trucs et astuces culinaires ou pas, qui se révèlent très pratiques et utiles à suivre lorsque vous êtes en camping.

• En camping, préférez un pain « pita », plutôt qu’un pain classique : il est beaucoup plus pratique et pourra mieux CONTENIR votre nourriture.
• Emportez avec vous également des aliments qui ne nécessitent pas d’être cuits, tels que des fruits secs, des barres de céréales, etc. Cela vous permettra de vous redonner rapidement de l’énergie pour recharger vos batteries en cas de besoin.
• Lorsque vous cuisez des hamburgers, rappelez-vous de faire de petits trous avec votre doigt, dans le pain ou la viande, car cela permet une meilleure pénétration de la chaleur dans les aliments et donc une meilleure cuisson : elle sera uniforme, autant sur les bords qu’au centre.
• Économisez du temps en préparant d’avance depuis chez vous, des soupes, des ragoûts et d’autres petits plats, que vous congèlerez et que vous décongèlerez et réchaufferez en cas de besoin.
• Les sacs congélation sont d’une grande aide pour transporter vos aliments ! Vous pourrez les utiliser également pour composer vos plats si vous mettez divers aliments dans plein de sacs différents. Vous économiserez ainsi beaucoup de temps, une fois que vous serez arrivé sur votre lieu de camping.
• Si votre outil pour refroidir vos aliments fuit, procurez-vous de la cire et faites-la fondre sur les points de fuite : une fois que la cire aura durci, vous aurez remédié temporairement au problème de fuite, en attendant de faire réparer la panne.
• Nettoyer vos poêles et vos casseroles sera beaucoup plus simple grâce à cette petite astuce : avant de les mettre sur le feu, passez un peu de savon liquide sur la partie extérieure de votre poêle ou de votre casserole. En outre, en faisant cela, vous réduirez énormément les dommages que le feu pourrait leur causer.
• Vous avez été distrait et votre nourriture a brûlé ? Ça arrive. Pas d’inquiétude. Mettez de l’eau et du liquide vaisselle ou du savon liquide dans le fond de votre poêle ou de votre casserole avec de l’eau et faites bouillir le tout pour faciliter l’opération de nettoyage.
• Si possible, emportez des glaçons en bloc et pas des petits cubes. Ils ont une durée accrue et maintiennent vos aliments au frais plus longtemps, tout en permettant qu’ils ne se gâtent pas. De temps en temps, il vaut mieux changer les glaçons.
• Essayez de ne pas ouvrir votre réfrigérateur ou votre glacière TROP SOUVENT. L’idéal serait de disposer de deux outils différents pour conserver vos aliments au frais : un pour les boissons et un pour les aliments solides, de façon à ce que ni l’un, ni l’autre, ne soit ouvert trop souvent, laissant ainsi la chaleur pénétrer et risquant donc de gâter vos aliments.
• L’odeur peu ragoûtante que peut émaner un réfrigérateur peut facilement être éliminée grâce à un bon nettoyage réalisé au bicarbonate et à l’eau.
• L’importance d’un couvercle pour cuisiner en camping est fondamentale, car il permet de conserver la chaleur à l’intérieur de votre casserole ou de votre poêle et il permet donc à votre nourriture de cuire plus rapidement, ce qui vous fait économiser du temps et du carburant. En outre, un couvercle sert à éviter que des insectes ou d’autres bestioles indésirables tombent dans votre préparation.
• En parlant d’autres bestioles indésirables, nous vous recommandons très fortement de conserver toutes vos réserves de nourriture à l’abri de tout animal qui pourrait en être attiré.
• Autre petit conseil : nous vous suggérons d’accrocher votre savon à un arbre, emballé dans une chaussette, afin qu’il ne se salisse pas.
• Petit conseil : rappelez-vous d’huiler votre grille avant d’y déposer vos aliments pour qu’ils n’y accrochent pas.
• Si vous avez décidé de cuire vos aliments en l’emballant dans une feuille d’aluminium, ajoutez quelques cubes de glaçons à l’intérieur de votre « paquet », pour rendre vos aliments un peu plus humides durant la cuisson. Cela évitera que votre préparation brûle.
• Un bon campeur se remarque également à la façon dont il gère les espaces. ÉCONOMISER DE L’ESPACE et RÉUTILISER LES ESPACES sont les concepts clés du camping. Quelques exemples ? Utilisez des bouteilles en plastique pour transporter vos condiments et vos sauces, des casseroles comme bol pour mélanger tous les ingrédients, une énorme casserole d’eau que vous ferez bouillir et que vous pourrez départager entre vos boissons chaudes, la cuisine, puis la vaisselle.
• VOUS AVEZ OUBLIÉ votre gant de cuisine et vos maniques pour pouvoir déplacer vos casseroles et vos poêles chaudes durant votre camping ? Aucun problème, un gant de travail en cuir pourra tout à fait faire l’affaire.
• Une autre astuce culinaire si vous avez envie d’une bonne grillade de viande : commencez à griller votre viande et à la moitié de la cuisson, recouvrez-la de vos condiments et de vos sauces. De cette manière, votre viande aura plus de goût et la sauce ne sera pas brûlée.
• Les allumettes sont d’une importance capitale en camping ! Assurez-vous de toujours bien les CONSERVER AU SEC dans une boîte imperméable, ou bien, recouvrez les têtes des allumettes avec de la cire de façon à les protéger complètement. Lorsque vous aurez besoin d’allumer votre allumette, la cire s’enlèvera très facilement.
• Si vous avez l’habitude d’utiliser du beurre ou de la margarine, préférez un pot ou une bouteille plutôt que la glacière classique, car elles sont beaucoup plus faciles à utiliser. Et si votre beurre ou votre margarine se sont solidifiés en raison de la trop basse température de votre glacière, vous pouvez immédiatement plonger votre bouteille contenant le beurre ou la margarine dans de l’eau tiède pendant quelques minutes pour qu’ils retrouvent leur aspect plus fluide et qu’ils soient prêts à l’usage.
• C’est votre dernier jour de camping et vous vous retrouvez avec plein de petits restes ? Essayez de ne préparer qu’un seul repas : par exemple, une omelette, dans laquelle vous pourrez unir viande et légumes, afin de ne rien jeter et de ne rapporter aucune nourriture chez vous. D’autre part, cela évitera également le gaspillage, ce qui est un vrai geste pour la planète !
• Une petite astuce pour remédier à l’excédent de sel ! Si vous vous rendez compte durant votre cuisson que vous avez mis trop de sel dans votre préparation, épluchez une petite pomme de terre et ajoutez-la à votre plat : elle aidera à absorber l’excès de sel tout en n’empêchant pas votre nourriture de continuer à cuire.
• Les marshmallows représentent un classique à faire cuire au feu de camp. S’ils ont tendance à se coller les uns aux autres quand vous les conservez tous ensemble dans leur sachet d’emballage ou dans une boîte que vous aurez prévu à cet effet, vous pouvez les saupoudrer de sucre en poudre pour les en empêcher. Cette technique leur donnera également un aspect et un goût caramélisé supplémentaire une fois cuits sur une brochette : un délice ! Vous nous remercierez.
• Avant de partir en camping, nous vous conseillons de bien vous renseigner sur les zones potentielles où vous irez planter la tente : s’il y a des équipements prévus pour les campeurs tels que des tables et des chaises, un raccord d’eau, un barbecue à disposition, etc., car cela vous fera économiser beaucoup d’espace et de réflexion avant de partir, puisque vous n’aurez pas à les ramener de chez vous. Toutefois, n’oubliez pas de NETTOYER l’espace public où vous vous êtes arrêté pour manger ou pour camper avant de repartir. C’est la règle d’or du campeur et le respect de tous est un aspect important de l’esprit camping, sans parler du respect que nous devons à la nature !
• Si vous avez décidé de partir en camping sauvage et qu’il n’y a, par conséquent, aucun équipement prévu pour les campeurs, vous êtes donc libre d’y créer votre propre cuisine de camping, mais assurez-vous d’être éloigné de votre tente d’au moins une centaine de mètres. Rappelez-vous que les odeurs de cuisine et les restes de nourriture pourraient attirer les animaux sauvages, et cela, trop proche du lieu où vous dormez, n’est vraiment pas indiqué et peut même être très dangereux.
• Pour la même raison mentionnée ci-dessus, il vaut mieux éviter de laisser des souillures de nourriture ou des odeurs d’aliments trop fortes sur vos vêtements. Dans ce cas, nous vous conseillons de toujours vous changer autant avant de dormir, qu’avant de vous remettre en marche, après que vous aurez fini de manger.

5. Nettoyage et hygiène

Le chapitre intitulé « Nettoyage et hygiène » (et surtout si l’on cuisine et qu’on mange à l’air libre), mérite un discours bien à part.

Nous sommes tous habitués à cuisiner dans nos cuisines fermées et dans le confort de notre maison, là où les bactéries prolifèrent probablement beaucoup moins qu’à l’extérieur.

C’est pourquoi, vous devrez nettoyer soigneusement vos casseroles et les surfaces après avoir cuisiné et mangé votre repas.

Et également dans le but d’éviter d’attirer les animaux sauvages et les insectes indésirables !

Il vous faudra donc laver SOIGNEUSEUMENT vos casseroles, vos poêles, vos assiettes, vos couverts, vos ustensiles et tout ce qui aura servi à cuisiner.

La meilleure façon de le faire est d’employer trois contenants distincts :

• Dans le premier contenant, mettez de l’eau chaude et du produit pour laver la vaisselle, afin de dégraisser tout ce qui vous a servi à cuisiner.
• Dans le deuxième contenant, mettez beaucoup d’eau pour le rinçage.
• Dans le troisième et dernier contenant, mettez de l’eau tiède et du désinfectant pour rendre votre vaisselle toujours plus propre et plus hygiénique.

Toute la zone où vous cuisinez et où vous mangez devra ainsi être nettoyée et désinfectée à la fin de chaque repas.

N’oubliez pas non plus de ramasser tous vos déchets, vos restes, vos emballages et ainsi de suite. Ramassez-les et jetez-les dans les poubelles de tri qui seront probablement mise à disposition si vous campez sur une aire de camping prévue et équipée pour cela.

Dans le cas où il n’y a pas de poubelle, vous pouvez toujours emmener plusieurs sachets poubelle et procéder vous-même à votre tri des ordures, avant de les jeter dans la prochaine poubelle.

Il est très important de toujours conserver la nature dans son état le plus propre et le plus naturel de manière à ce que les prochains campeurs puissent en profiter autant que vous avez pu en profiter vous, et aussi, afin de ne pas déranger la faune et la flore locale.

Voilà, nous sommes arrivés à la fin de cet article ! Maintenant, nous espérons que vous êtes devenu des chefs étoilés de la cuisine en camping et nous espérons que cet article vous aura plu. Si c’est le cas, n’hésitez pas à continuer de nous lire ! Bonne aventure et bon camping, l’ami. À bientôt.

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Après la longue saison hivernale, votre veste d’hiver aura sûrement besoin d’un petit rafraîchissement avant d’être remisée au placard.
Si vous ne voulez pas l’amener au pressing ou dans un lavomatique et que vous souhaitez vous essayez au lavage domestique depuis le confort de votre maison, sachez que votre machine à laver peut vous être d’une aide tout à fait valable.
Avec les bonnes instructions, vous pourrez laver vos vestes et vos blousons d’hiver directement chez vous en vous économisant du temps et de l’argent avec un résultat optimal.
Retrouver votre veste d’hiver dans son état d’origine n’est pas difficile, si vous savez vous y prendre !
Dans cet article, nous vous expliquerons comment laver vos vestes doudounes en machine pour un résultat digne d’un pressing professionnel.

Comment laver les doudounes en machine

Il est de bien commun qu’une veste d’hiver soit nécessairement lavée à sec et donc de l’emmener au pressing.
EN RÉALITÉ, CE N’EST PAS NÉCESSAIREMENT LE CAS !
Il n’est pas nécessaire de dépenser de l’argent dans un pressing alors que vous pouvez obtenir les mêmes résultats optimaux directement depuis chez vous, grâce à votre propre machine à laver. Il suffit d’un peu d’astuce.
Avant toute chose, vous devrez contrôler l’étiquette de votre veste et vous verrez que la plupart des vestes d’hiver et des blousons peuvent être passés en machine.
Réglez votre machine sur un programme délicat. Utilisez votre lessive habituelle et lancez un lavage.

C’est tout simple, non ? Mais voyons en détail comment faire.

Le contrôle de l’étiquette

• En premier lieu, lisez attentivement l’étiquette de votre veste pour vous assurer qu’elle soit lavable en machine. Les étiquettes sont généralement très précises et énumèrent des instructions de lavage très spécifiques telles que la température de l’eau, les potentielles restrictions à connaître en fonction du matériau de votre veste, les éventuels dommages que vous pourriez lui causer en raison d’un mauvais programme, le type de lessive à utiliser, et enfin, si le vêtement doit être lavé séparément ou s’il peut être repassé.

La mention « Lavage à la main uniquement » ou « Nettoyage à sec uniquement » signifie qu’il est absolument interdit de mettre la veste dans la machine à laver !
CELA SEMBLE ÉVIDENT, MAIS ÇA NE L’EST PAS… et vous pourriez abîmer votre veste de façon irréversible.
Donc, afin d’en être bien certain, lisez D’ABORD les instructions de lavage qui vous sont fournies. Si vous avez des doutes, contactez le fabricant pour vous assurer que votre veste peut être passée en machine.

• Si vous trouvez sur l’étiquette le symbole d’un seau avec une main dessinée à l’intérieur, cela signifie que le vêtement doit, justement, être toujours lavé à la main, et jamais en machine. Il s’agit probablement d’un vêtement très délicat. Le passer en machine pourrait très certainement l’abîmer.

Si vous lavez votre veste à la main, utilisez une lessive spécifique au lavage à la main et qui soit exempte de chlore !

• Si dans les instructions, vous voyez le symbole d’une machine à laver ou d’un seau barré par un « X », cela signifie que votre veste n’est pas lavable à l’eau, et donc qu’elle ne peut pas être passée en machine, ou qu’elle ne peut pas être lavée à la main. Pour ce type de vêtement, vous devrez obligatoirement vous rendre dans un pressing pour être sûr de le faire laver par un professionnel sans l’abîmer.
• En règle générale, les vestes en nylon, en polaire, ou en plumes peuvent être passées en machine. Il est préférable de les laver séparément en utilisant un cycle délicat et une eau à peine tiède, voire un cycle de lavage à froid pour éviter d’endommager les fibres du tissu de votre veste ou même de la décolorer.

Utilisez une lessive sans chlore, et si vous avez des doutes sur laquelle choisir, nous vous conseillons d’appeler directement le fabricant. Vous pouvez également programmer un double rinçage, pour vous assurer que le vêtement est parfaitement exempt de résidus de lessive, s’il s’agit d’une lessive en poudre.
N’OUBLIEZ JAMAIS DE RÉINITIALISER LE CYCLE D’ESSORAGE !

• Les vestes en daim, en cuir ou en fourrure NE doivent JAMAIS être passées en machine. Il vaudra mieux vous rendre dans un pressing professionnel, spécialisé dans le lavage et le soin de ces vêtements TRÈS PARTICULIERS.

Le traitement avant lavage

• Si votre veste a des taches, il vaudra mieux les traiter avant de les passer en machine ou avant tout lavage.

Utilisez une lessive liquide ou un détachant spécifique aux taches tenaces. Vous pouvez frotter le produit directement sur la tâche et laissez-le agir pendant 10 minutes avant de mettre votre vêtement en machine. Comme alternative au détachant, vous pouvez utiliser une petite quantité de produit-vaisselle, qui a une forte capacité dégraissante.

• Avant de laver votre vêtement, vérifiez les poches de votre veste, puis fermez votre veste et les poches pour éviter que les fermetures à glissière s’abîment, se coincent dans la machine à laver ou s’accrochent dans d’autres vêtements.

Si la veste possède des parties détachables, par exemple une capuche, retirez-les AVANT de lancer le cycle de lavage.

• Vous voulez être sûr que le lavage n’abîme pas votre veste ?

LAVEZ VOTRE VESTE SUR L’ENVERS.
Avant de laver votre veste, boutonnez-la complètement et assurez-vous que les fermetures à glissière soient fermées.

Charge et lavage de la veste

• Si vous avez plusieurs vestes à laver, vous pouvez aussi faire un seul lavage, seulement et uniquement si elles sont conçues dans le même matériau et qu’elles sont du même type. Dans le cas contraire, il faudra VOUS ARMER DE PATIENCE et laver vos vestes une à une pour éviter tout dommage, perte de couleur ou déchirure. En règle générale, en lavant chaque vêtement séparément, vous ne devriez pas vous tromper.

Quelle est la fréquence de lavage conseillée pour les vestes d’hiver ?

Une veste d’hiver ne doit pas être lavée trop fréquemment. Nous vous conseillons de la laver UNE À DEUX FOIS PAR SAISON.
Pour la rafraîchir, vous pouvez la brosser et la laisser exposée à l’air libre pendant plusieurs heures.
Dans tous les cas, il est généralement conseillé de la laver à la fin de l’hiver, avant de la reporter lors de la saison suivante.

• Pour laver les vestes en plume dans une machine à laver, il est préférable de choisir une machine avec chargement par le devant.

Nous vous conseillons cela, car, généralement, les vestes rembourrées sont assez délicates et la forme d’une machine à laver avec chargement par le dessus pourrait abîmer le rembourrage. En outre, prenez soin de laver les vestes en plume TOUJOURS SÉPARÉMENT, sans jamais les mélanger à d’autres vêtements.
Si vous n’avez pas de machine à laver avec chargement frontal, il vaut mieux opter pour un lavage à sec dans un pressing professionnel ou vous rendre dans un lavomatique.

• Réglez votre machine sur un programme de lavage délicat pour éviter d’endommager vos vêtements. En règle générale, la température d’un programme délicat ne dépasse jamais les 30° C. Utilisez une lessive en poudre ou liquide qui ne soit pas trop AGRESSIVE, mais n’ajoutez jamais d’adoucissant à votre lavage.
• Si vous avez des doutes quant à la température adaptée à votre veste pour son lavage, réglez un programme de lavage à froid, ainsi, vous serez assuré de ne pas endommager votre veste.
• Il n’est pas nécessaire d’acheter une lessive particulière pour laver votre veste. Vous pouvez utiliser la lessive que vous utilisez généralement pour laver tous vos autres vêtements, tant que celle-ci n’est pas trop agressive.

Dans tous les cas, rappelez-vous toujours de bien contrôler d’abord l’étiquette de votre veste : dessus, vous trouverez toutes les indications spécifiques à votre vêtement et nécessaires à son lavage. Vous pourriez même y trouver des indications quant à la lessive à utiliser.

• Si vous voulez laver votre manteau ou votre veste en laine, vous devrez prendre des précautions particulières pour que le tissu conserve toute son intégrité.

Tout d’abord, nous vous conseillons de bien BROSSER votre manteau avant de le passer en machine, afin d’éliminer les éventuelles peluches ou les résidus de laine, ainsi que pour redonner de la vigueur au tissu de votre vêtement avant de le mouiller.

Vidéo comment laver sa veste doudoune

Si cet article vous a plu, n’hésitez pas à continuer de nous lire et si vous avez des suggestions auxquelles nous n’aurions pas pensé, n’hésitez pas à nous écrire également !
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Vous vous demandez comment reconnaître un débutant en camping ? C’est pourtant facile : vous verrez un enchevêtrement d’arceaux et de sardines éparpillés sur le sol et vous les reconnaîtrez à leur air déconfit, car ils ne savent pas par où commencer.

Mais si c’est vous le débutant, ne pensez pas que vous avez jeté votre argent par la fenêtre : respirez profondément, relaxez-vous et prenez le temps de lire cet article, car vous saurez en 5 minutes comment monter votre tente de camping.

Comment monter sa tente de camping

Ne vous découragez pas : vous ne voudriez pas abandonner l’idée de camper avant même d’avoir planté au moins une tente, n’est-ce pas ?

Procédez par étapes. Tout d’abord, il faudra réunir tout le matériel que vous aurez étalé sur le sol et vérifier que tout y est :

• La toile de tente.
• Les arceaux.
• Les sardines.
• La bâche externe.

Une suggestion : vous pouvez en outre emporter un maillet pour enfoncer plus facilement vos sardines dans le sol.

Et maintenant, il est temps de passer à l’action, la vraie !

Suivez ces instructions pas à pas et vous deviendrez un expert en montage de tente de camping.

1. Instructions de montage de la tente

Imaginez-vous en fin de journée après une longue randonnée.

Vous avez marché sur des terrains difficiles, affronté les éléments, mis votre résistance physique à rude épreuve et maintenant vous n’avez qu’une envie, c’est de vous reposer, mais d’abord, il va falloir monter votre tente.

Rassemblez votre énergie pour cet ultime effort avant de pouvoir enfin profiter d’un repos bien mérité !

Monter correctement sa tente lorsque vous campez est très important pour votre sécurité : relevez les manches et suivez-moi dans ce guide d’instruction étape par étape.

2. Contrôlez d’avoir bien tous les éléments

Vous allez ouvrir votre sac à dos pour vérifier que vous avez bien emporté tout le nécessaire pour monter votre tente ?

Faites un pas en arrière.

Et précisément, retournez directement à votre point de départ (c’est-à-dire, avant de partir), car c’est à ce moment-là que vous devrez vous assurer d’avoir emporté tout le matériel nécessaire.

Imaginez que la météo menace de pleuvoir et que vous ayez oublié la bâche externe étanche : votre tente fuirait de partout !

Ou bien, vous pourriez n’avoir oublié qu’une seule sardine et votre tente pourrait vous tomber dessus en vous offrant une vue parfaite sur les étoiles, et pas qu’au sens figuré !

Un contrôle rapide et précis avant de partir pourrait vous éviter bien des surprises.

3. Choisissez le bon endroit pour camper

Maintenant que vous êtes certain d’avoir tout le nécessaire, regardez autour de vous et cherchez le lieu le plus adapté pour monter votre tente.

Tout d’abord, le terrain doit être :

• Sec.
• Libre de tout obstacle tel que des pierres, des racines ou du gravier.
• Éloigné de tout arbre, car la résine peut endommager la toile de votre tente et attirer la foudre.
• En légère pente pour permettre l’écoulement de l’eau cas de forte pluie.

Essayez de maintenir une certaine distance de vos voisins pour conserver un minimum de vie privée et pour éviter le surnombre de tentes.

Enfin, si vous le pouvez, choisissez un lieu avec une vue qui en vaudra la peine, car vos yeux aussi ont besoin de se reposer.

4. Étalez tout le matériel sur le sol

Avant de mettre la main dans votre sac à dos pour en extraire tout le contenu, je vous conseille d’étendre une toile cirée directement sur le sol. Ainsi, vous formerez une sorte de barrière entre le terrain et la toile de sol de votre tente, afin de la protéger de toute humidité.

Maintenant, il est enfin venu l’heure de commencer à monter votre tente : videz votre sac à dos sur la toile cirée afin que les différents composants ne se dispersent pas.

Enfin, choisissez l’orientation de la porte et des fenêtres de votre tente en fonction de votre préférence personnelle : vous voulez un réveil naturel le matin ? Orientez votre tente vers l’est et le soleil s’occupera du reste.

5. Connectez les arceaux de votre tente

Votre tente prendra ainsi sa forme naturelle !

Cela vous semblera peut-être compliqué de prime abord, et surtout si vous regardez la pile d’arceaux sur le sol, mais en réalité, c’est très facile : il suffit de les connecter les uns aux autres (souvent, ils sont colorés ou numérotés). Il vous suffira de les insérer dans les fentes correspondantes de la toile de votre tente et le tour est joué. Au contraire, votre tente est quasiment prête !

La majeure partie des tentes est munie de deux arceaux qui, une fois insérés dans les fentes qui y sont destinées, se croisent en forme de X sur la partie supérieure de la tente, afin d’en former l’ossature.

Il ne vous restera plus qu’à les insérer dans les œillets situés aux extrémités de votre tente et l’étape suivante se trouve… au point suivant.

Conseil

Chaque tente est différente, lisez et suivez scrupuleusement les instructions données pour le montage de votre tente qui devraient se trouver directement sur votre tente ou sous forme de manuel d’utilisation.

6. Soulevez votre tente

Vous avez atteint un point crucial et vous êtes sur le point de voir le résultat du travail effectué jusqu’à présent : ne risquez pas de tout gâcher à cause d’un manque de coordination et demandez de l’aide à vos proches.

En règle générale, il est assez facile de monter une tente : les arceaux insérés dans les fentes devraient automatiquement fléchir et donner la forme de globe que l’on retrouve d’ordinaire sur les tentes.

7. Fixez les sardines dans le sol

Courage, vous êtes pratiquement arrivés à la fin de cette aventure. Il ne vous reste qu’à planter les sardines de votre tente dans le sol.

Les sardines entrent désormais en jeu : qu’elles soient en bois ou en métal, elles sont taillées en pointe d’un côté pour mieux s’enfoncer dans le sol et elles forment un crochet de l’autre pour empêcher votre tente de s’envoler en cas de fortes bourrasques de vent.

Si vous ne voulez pas gâcher votre camping, suivez les étapes qui suivent :

• Faites passer les sardines dans les œillets situés à l’extrémité de votre tente.
• Fixez-les dans le sol à l’aide éventuelle d’un maillet.
• Insérez-les dans le sol en les inclinant à 45° pour une résistance accrue.

Conseil

Choisissez vos sardines en fonction du type de sol sur lequel vous monterez votre tente.

8. Ajoutez la bâche externe

La majeure partie des tentes en vente dans le commerce ne sont pas imperméables. Dans ce cas : comment se protéger en cas de pluie ou tout simplement de l’humidité ambiante nocturne ?

Facile. Il vous suffit d’installer le dernier élément de votre tente de camping : la bâche externe.

Ce tissu externe à votre tente se pose tout simplement par-dessus votre tente et se fixe sur les arceaux ou dans les œillets au moyen de sardines.

Si elle dispose d’une corde, vous pouvez laisser un espace entre la toile de tente et la bâche externe afin que la pluie puisse s’écouler sur la bâche externe sans pour autant mouiller votre tissu de tente.

9. Procédez à toutes ces étapes dans le calme

Vous avez finalement atteint la fin de cet article, et maintenant vous savez comment monter votre tente. Aviez-vous imaginé qu’il serait aussi facile de le faire ?

Toutefois, le fait que cela soit aussi facile, ne signifie pas que cela ne représente pas un défi.

Monter une tente de camping, surtout s’il s’agit de la première fois, requiert beaucoup de temps, et parfois des heures.

Mais, il s’agit très certainement d’un temps bien investi : un soin tout particulier vous évitera de mauvaises surprises et rendra votre nuit à l’intérieur de la tente beaucoup plus sécurisé et confortable.

Vous n’aviez jamais eu l’occasion de monter une tente lors d’une randonnée de plusieurs jours ou de vacances à la mer ? Vous voilà servis !

Si vous avez rencontré des problèmes pour monter votre tente ou que vous avez des suggestions à nous faire, écrivez-nous et faites-le nous savoir.

Comment monter votre tente en camping

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Hé toi ! Tu es passionné de ski ou de snowboard ? Tu es parti en vacances à la neige, mais tu te rends compte que tu n’as pris qu’une seule paire de bottes ? Tu sais très bien que les bottes de ski et les bottes de snowboard ne sont pas interchangeables, n’est-ce pas ?

En effet, la différence entre les deux types de bottes est énorme ! Lis cet article que nous t’avons concocté et puis… cours remédier à cela !

Bottes de ski vs. Bottes de snowboard : quelles différences ?

Le fait que ces deux types de bottes s’utilisent sur la neige ne signifie pas qu’elles peuvent s’utiliser de manière interchangeable : tu ne ferais pas de la randonnée aquatique avec des palmes aux pieds, n’est-ce pas ?

Dans ce cas, si tu ne veux pas être laissé en plan par tes amis lors de la prochaine descente, continue à lire cet article pour pouvoir choisir les bonnes chaussures adaptées !

• Les matériaux

La différence majeure entre ces deux types de bottes réside principalement dans les matériaux dans lesquels elles sont conçues : les bottes de ski doivent obligatoirement être rigides, tandis que les bottes de snowboard ont besoin d’être flexibles.

Les matériaux des bottes de ski

Les bottes de ski ont profondément changé au cours du temps, et pas seulement dans leur forme.

Les modèles bas en cuir d’il y a une dizaine d’années ont rapidement laissé la place à des bottes plus hautes et plus rigides, avec des protections aux chevilles et aux talons, qui n’ont que peu à voir avec leurs aïeules.

Pourquoi ce changement ?

Évidemment pour améliorer les performances, et, surtout, pour protéger les pieds et les articulations.

Rappel : il est plus important d’avoir une bonne paire de bottes de ski, qu’une bonne paire de skis.

Les bottes sont réalisées en plastique dur et l’indice de rigidité est exprimé par la valeur de ce qu’on appelle le flex : plus il est élevé, plus la chaussure sera rigide et adaptée au skieur expérimenté ou plus robuste.

Rigides à l’extérieur et chaudes à l’intérieur : le rembourrage est généralement fait de laine pour assurer un maximum de confort et de chaleur.

Les matériaux des bottes de snowboard

Imagine-toi lors d’une session de snowboard en freestyle : réussirais-tu à faire tourner la planche ou à effectuer des sauts et des acrobaties avec une paire de bottes rigides aux pieds ?

La réponse est évidemment NON.

Une paire de bottes de snowboard doit être réalisée en matériaux flexibles précisément pour favoriser ta flexibilité, à toi.

Mais il y a une exception : si tu es particulièrement habile et que tu aimes les exploits à haute vitesse, une paire de bottes plus rigides t’aidera à améliorer ton contrôle et la précision de tes mouvements.

• Le système de laçage

C’est un aspect très important dans le choix de tes chaussures de ski ou de snowboard.

Les pieds et les chevilles sont très sollicités lors de cette activité et le système de laçage joue un rôle très important.

Tu veux partir du bon pied ?

Continue à lire cet article et je t’expliquerai en bref le fonctionnement des divers systèmes de laçages, autant pour les chaussures de ski que pour les chaussures de snowboard.

Laçage des chaussures de ski

La première chose à noter quand on regarde une paire de bottes de ski est son système de laçage.

Il s’agit d’un véritable slalom entre boucles, crochets et fixations et qui mérite une analyse plus détaillée.

• Le crochet de fixation sur le talon : il s’agit du plus important, car le talon doit être bien enveloppé dans la chaussure et il doit rester fermement en place quand tu skies.
• 3 – 6 crochets ou boucles: ils serrent la botte autour de ta jambe et empêchent la neige de pénétrer à l’intérieur de la chaussure.
• Le strap : il s’agit d’une bande en velcro qui permet de fermer la chaussure sur la partie haute.

Laçage des chaussures de snowboard

Une paire de bottes de snowboard pourrait presque passer inaperçue, car elles ressemblent quasiment à une paire de chaussures de trekking, si on ne fait pas attention à son système de laçage.

Il y a trois types de laçage :

• Le laçage classique à lacets: il s’agit de simples lacets qui resserrent facilement les bottes, comme tout autre type de chaussures.
• Le système « quick pull »: il y a des poignées sur la partie haute de la botte qui te permettent de lacer rapidement tes bottes.
• Le système BOA : il s’agit du système de laçage le plus innovant, puisqu’il possède une molette qui permet d’ajuster tes bottes et de les resserrer plus facilement, comme tu le désires.

Les fixations pour bottes de ski et de snowboard

La plus grande différence entre les bottes de ski et les bottes de snowboard réside dans le système de fixation.

Fixer ses bottes à ses skis n’est pas compliqué :

• Place la pointe de la botte dans la fixation avant.
• Tire le levier vers le haut sans le bloquer.
• Pousse le talon dans la partie arrière de la fixation.

Et en ce qui concerne la planche de snowboard ?

• Mets le pied dominant dans la fixation frontale.
• Accroche la fixation à la chaussure grâce au strap prévu à cet effet.
• Répète l’action avec l’autre pied.

Tu es maintenant fin prête pour les descentes ou pour faire montre de ton talent en réalisant des backside ou des frontside !

Rappel : on n’est jamais trop prudent !

La neige peut cacher toute sorte d’embûches et le risque de chute doit toujours être pris en compte. Alors que les skis sont étudiés pour se détacher de tes bottes s’ils sont soumis à une trop forte pression, la planche de snowboard restera toujours fixée à tes pieds, elle.

Tu sais pourquoi ?

Pour ton bien ! En effet, cela évite les blessures aux articulations, car il serait impossible de décrocher les deux fixations en même temps.

• Le confort

On dit que les apparences sont parfois trompeuses, mais pas dans ce cas.

Il te suffit de jeter un œil rapide aux deux types de chaussures pour te rendre compte que celles faites pour le ski doivent compter parmi les chaussures les plus inconfortables à porter aux pieds.

Enfiler ses chaussures de ski pour marcher doit faire partie des expériences les plus inoubliables, très certainement. Elles te régaleront de la joie d’aller skier, mais t’offriront aussi une intense douleur sur toute autre surface.

Les chaussures de snowboard sont définitivement plus confortables, plus souples et plus flexibles.

Elles ne sont pas très différentes d’une paire de chaussures de randonnée, donc, pourquoi ne pas en profiter également en dehors des pistes ?

Enfin, rappelle-toi qu’il n’y a pas de confort sans la bonne taille de chaussures.

• La coque extérieure

Comment faire la distinction entre un skieur et un snowboardeur hors des pistes ?

C’est facile : il suffit de les observer lorsqu’ils marchent.

La coque extérieure des bottes de ski n’est pas géniale pour marcher, bien au contraire même !

Elle est conçue en matériaux rigides pour te protéger sur les pistes, pas pour faire une randonnée !

Donc, si tu veux aller passer du bon temps au bar après quelques descentes, il faudra emporter avec toi une paire de chaussures de rechange.

Voilà un problème dont les snowboardeurs n’ont pas besoin de se préoccuper : leurs chaussures peuvent les accompagner toute la journée, que ce soit sur les pistes ou hors des pistes.

• La semelle extérieure

Pourquoi s’obstiner à vouloir marcher avec des chaussures de ski aux pieds si le risque d’endommager la semelle est grand ?

Et perdre la gracieuse image que tu auras offerte aux autres sur les pistes en skiant comme un dieu, d’autant plus ?

La semelle extérieure est conçue dans le même matériau que la coque et n’est pas conçue pour être utilisée sur une surface dure.

Si tu n’as vraiment pas envie de les retirer, tu peux au moins utiliser des protège-semelles Cat track : ce sont des vrais sauveurs pour tes semelles. Conçus en caoutchouc flexible, ils te permettront de marcher en toute sécurité sans risquer d’endommager tes chaussures.

Et pour les chaussures de snowboard ?

Une simple semelle synthétique ou en caoutchouc flexible sera suffisante pour protéger tes chaussures, à moins que tu ne sois pas un freestyler expérimenté, auquel cas, tu auras besoin d’un amorti supplémentaire entre un saut et l’autre.

• La marche

Mais quel est le rapport entre la marche et les sports d’hiver ?

Aucun en réalité. Mais durant toute ta journée, il est fort probable que tu veuilles te rendre au bar ou aller acheter un petit quelque chose à grignoter. Dans ce cas, te déplacer avec tes chaussures de ski est compliqué et très embarrassant…

Donc, pourquoi ne pas envoyer ton ami snowboardeur à ta place, car, lui, il porte des chaussures hyper confortables. Ou bien, si tu es trop gêné de lui demander ça, tu peux l’envoyer te chercher les protège-semelles Cat tracker que tu as oublié dans la voiture pour y aller toi-même !

Nous sommes arrivés à la fin de notre article. Connaissais-tu toutes ces différences entre les chaussures de ski et les chaussures de snowboard ? Si quelques autres te viennent à l’esprit, n’hésite pas à nous écrire, pour nous en faire part. Et si cet article t’a plu, n’hésites pas à continuer de nous lire !

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La fraîcheur de la nuit, l’immensité du ciel constellé d’étoiles, le chant de la cigale… qu’y a-t-il de mieux qu’un camping pour s’éloigner du stress de la vie citadine ?

Le camping, pour le définir dans un terme plus « cool », est un excellent moyen pour passer son temps libre en compagnie de ses amis ou de sa famille et pour se sentir plus actif et mieux dans sa peau. Mais voyons ensemble quels sont les bienfaits que vous pourriez tirer d’une aventure en extérieur et d’une nuit en camping.

Les bienfaits du camping pour la santé

Un grand nombre de personnes est conscient du fait que partir en week-end à l’air libre peut être une vraie merveille pour se détendre les nerfs, mais peu savent ce qui donne au camping tous ses bienfaits, autant pour notre santé mentale, que physique.

En effet, quiconque aura déjà passé une nuit en tente, retourne à sa vie de tous les jours imprégné d’un sentiment de paix intérieure et sera plus disposé à affronter son quotidien… mais vous êtes-vous déjà demandé pourquoi ?

1. Le camping augmente le taux de vitamines D dans le corps

Une myriade d’études démontre que s’exposer au soleil lorsque ses rayons sont les moins intenses (c’est-à-dire entre 16 h 00 de l’après-midi et 08 h 00 du matin), permet de mieux faire fonctionner les précurseurs de vitamine D présents sur la peau.

En les faisant mieux fonctionner, le corps réussit à synthétiser une quantité plus importante de vitamine D, qui est un élément essentiel pour maintenir aux normes nos taux de calcium et de phosphate dans le sang : deux substances qui servent à avoir des os forts et à diminuer le risque d’ostéoporose.

Mais les bienfaits mis en évidence par ces études ne se limitent pas seulement au système musculosquelettique. Il semblerait, en effet, que cette vitamine puisse aider à éloigner les signes de dépression, prévenir l’hypertension, les crises cardiaques, voire même certaines formes de cancer.

En outre, si vous faites partie de ces gens qui dorment mal la nuit et qui ont de grandes difficultés à se lever le matin et à abandonner votre lit, vous serez heureux d’apprendre que cette vitamine est également capable d’équilibrer le sommeil et d’en améliorer la qualité !

2. Le camping est un excellent moyen pour rester en forme

Marcher, faire de l’escalade ou faire un jogging, par exemple, sont toutes des activités physiques qui sont communément pratiquées lors d’un week-end en camping. Ce type d’exercice améliore la circulation du sang, fortifie la musculation du cœur et aide à maintenir sous contrôle la pression sanguine. Ce sont des bienfaits qui réduisent drastiquement les probabilités de faire une crise cardiaque.

Bien souvent, ceux qui décident de quitter le confort de leur maison pour monter la tente dans un quelconque lieu perdu au beau milieu de la nature sauvage, le fait avec le désir d’explorer des lieux inconnus ; peut-être en y allant à cheval ou à vélo, et en compagnie de sa famille ou de ses amis. Toutes ces activités sont idéales pour se maintenir en forme et pour passer du bon temps avec ses proches.

Même si vous ne comptez pas réellement faire d’exercice physique, certaines des actions que vous ferez lors du camping peuvent contribuer à votre bien-être physique. Aussi bien que des exercices en salle de sport, d’ailleurs !

Partir chercher du bois pour le feu ou porter tout ce qui vous sera nécessaire pour son allumage ou pour planter votre tente, sont quelques-uns des exemples de ce que vous serez sûrement amené à faire durant votre séjour et qui requièrent un effort physique certain.

3. Le camping augmente naturellement le niveau de sérotonine

Il a été démontré que tous les sports en air libre permettent d’augmenter naturellement le niveau de sérotonine : la substance aminée qui réduit le stress et améliore l’humeur.

En effet, la sérotonine est définie comme « l’hormone du bonheur », puisqu’il s’agit d’un neurotransmetteur synthétisé par le cerveau et qui influe sur votre bonheur !

Le camping est une excellente occasion pour s’entraîner et faire des activités aérobies, qui augmentent la quantité d’oxygène dans votre corps, et pour profiter de l’exposition aux rayons du soleil, qui, comme nous l’avons déjà mentionné, peuvent vous calmer et insuffler la joie.

4. Vous pourrez respirer de « l’air frais »

En parlant « d’air frais », je ne parle pas seulement de ce dont parlait votre mère quand vous étiez plus jeune, mais d’un bienfait réel pour votre santé et vos poumons. L’air en zone rurale est, en effet, plus propre en comparaison à celui de la ville et permettra à vos poumons d’être purifiés de la pollution quotidienne.

Durant un camping, vous aurez la possibilité de respirer de l’air ayant une teneur plus importante en oxygène et qui contribuera à augmenter l’énergie de votre cerveau, en outre de le rendre plus alerte.

5. Le camping permet de se déconnecter de nos dispositifs technologiques

La technologie régule notre vie de tous les jours et il est impensable de passer 10 minutes de notre temps sans vérifier les notifications de notre téléphone, nos e-mails ou sans partager un post sur un des nombreux réseaux sociaux en vogue en ce moment.

Les études qui démontrent que l’excès de ces appareils réduit notre capacité de penser, sont nombreuses. Ils nous empêchent également de nous rappeler de certaines choses et réduisent notre seuil d’attention, mais bien souvent, nous restons aspirés par ce « vortex technologique », dont il est presque impossible de sortir.

Un des nombreux avantages du camping est que vous aurez l’occasion de vous déconnecter de ces appareils technologiques pour vous reconnecter à la nature, et vous pourrez vous éloigner de votre routine quotidienne de travail, qui vous impose de passer des heures devant votre ordinateur, de répondre à des appels ennuyeux ou de fixer continuellement des rendez-vous, des meetings ou des conférences.

6. Le camping réduit le stress mental

Exactement pour toutes les mêmes raisons que nous avons déjà mentionnées jusque-là, le camping est une excellente méthode pour s’éloigner de tous vos engagements au travail.

Lorsque vous êtes en camping et que vous passez du temps à l’air libre, vous pourrez échapper à tous les engagements de votre travail et vous réfugier au sein de notre Mère Nature : pas d’appel, pas d’e-mail, pas de rendez-vous.

En outre, votre routine de travail influe souvent sur la qualité du temps que vous passez avec votre famille et surtout, avec vos enfants. De nos jours et de notre point de vue, leur génération passe peu de temps à jouer dehors et ils préfèrent passer du temps à jouer aux jeux vidéo ou à regarder la télévision, bien à l’abri des murs de nos maisons.

Mais, même dans cas, le camping est une solution idéale ! Loin de vos habitudes quotidiennes, vous réussirez à retrouver le sens de la famille que vous pourriez avoir perdu en vous amusant tous ensemble ou en pratiquant différentes activités en extérieur, que vous pourriez organiser.

Et si, au contraire, vous décidiez de partir entre amis, ou bien tout seul ? Aucun problème. Les aires équipées pour le camping sont des lieux idéaux pour cimenter les amitiés et pour en créer de nouvelles.

Vous pourrez également y partager différentes expériences et participer à des excursions en groupe qui vous permettront, en effet, de passer des moments inoubliables, autant avec vos nouveaux qu’avec vos anciens amis.

7. Le camping remet à zéro le compteur de votre cycle de vie citadine

Le terme « cycle de vie citadine » provient du latin « circa diem » et signifie justement « environ un jour » et il s’agit du rythme réglé de notre « horloge interne », qui a une durée naturelle de 24 heures et qui influe sur notre cycle sommeil-réveil, sur la libération d’hormones et la température de notre corps.

Bien qu’il s’agisse d’un système endogène naturellement présent dans notre organisme, il est influencé par des stimuli environnementaux, tels que la lumière du soleil, et par des stimuli sociaux, comme l’habitude de prendre ses repas à un moment précis de la journée.

Il semblerait, en effet, que notre organisme soit en mesure d’acquérir des informations sur la durée d’un jour à partir de ces stimuli, qui nous servent à nous synchroniser et qui rythment, en conséquence, le rythme qui est propre à chacun. Dormir à la belle étoile peut aider à remettre à zéro notre « horloge interne » et à remettre notre corps dans un état plus naturel.

8. Le camping rééquilibre notre paix intérieure

Le camping vous calme, vous relaxe et vous fait apprécier les petites joies simples de la vie ? Il vous démontre que tout ce que vous faite ne devrait pas forcément être difficile et épuisant ?

Le camping vous permettra d’avoir une attitude plus positive et une vision plus claire sur les opportunités que vous avez dans la vie. Il vous réserve et il induit un « repos émotionnel » face aux corvées de la vie quotidienne.

9. Le camping est une occasion parfaite pour manger plus sainement

Oubliez toute forme de fast-food ou de goûter industriel que vous pourriez trouver sur les étagères des supermarchés proches de chez vous. Loin de la ville, vous pourrez fonder votre alimentation sur tout ce que la nature a à vous offrir.

Par exemple, vous pourriez envisager l’idée d’aller pêcher et de vous procurer votre propre nourriture, ou, si vous préférez, vous pourriez vous limiter à rôtir votre viande et vos légumes au barbecue.

Si vous avez de la chance, vous pourriez même trouver des herbes aromatiques qui poussent spontanément dans certaines zones et vous pourriez les utiliser dans vos préparations.

Ce petit conseil vous permettra de donner du goût à vos petits plats, sans avoir recours à des substances chimiques, qui sont souvent préférées dans les processus d’alimentation industrielle.

10. Le camping vous fournira de nouvelles compétences

Si c’est la première fois que vous allez camper, il est fort probable que vous ne sachiez pas par où commencer pour monter votre tente, pour allumer un feu ou préparer le dîner, etc. Mais nous vous garantissons que vous apprendrez au moins les rudiments de cette activité avant même que le voyage ne soit fini !

En allant camper, vous aurez, en effet, la possibilité d’apprendre de nouvelles compétences grâce aux autres membres de votre groupe et de partager vos propres connaissances, car il est certain que vous apprendrez tous quelque chose de nouveau les uns des autres après cette formidable expérience.

Conclusion

Camper à l’air libre ne vous offrira certainement pas tout le confort d’un hôtel 5 étoiles, mais il s’agit d’une activité amusante qui a un impact positif sur votre santé générale.

Vous n’aurez pas à vous efforcer d’être toujours à votre maximum et vous vous sentirez bien, même si vous êtes en sueur et que vos cheveux sont ébouriffés après toutes les activités de la journée.

Qu’attendez-vous alors ? Prenez votre tente, votre sac de couchage et votre sac à dos et partez à l’aventure, car elle vous attend !

Si cet article vous a plu, n’hésitez pas à continuer de nous lire et à la prochaine, l’ami !

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